Le fond du village. Bien des choses ont déjà changé aujourd'hui ! A gauche le « cazêr », maison composée de plusieurs appartements. La dernière maison de droite, avant le hangar, est l'épicerie de Mademoiselle Marie Langhoor. On y trouve des sôrets, des boutons de culotte et de la farine à gâteaux ! On y accédait par un petit pont de bois enjambant le Bola. Ce magasin a laissé chez nous un « spô » (un dicton) ; ainsi on dit d'un lieu encombré : « Y faut astohi comme amon Marie Langhoor ! ».